A semer des monstres, on finit par récolter l’horreur. Nous y sommes !
Si l’on n’avait pas Daech, il faudrait l’inventer Le capitalisme fabrique des monstres (hier Ben Laden, aujourd’hui Daech), qui lui servent ensuite à étendre sa domination, à s’accaparer les richesses mondiales, à dicter son « ordre » (devenu chaotique),...